Le potier contempla les amphores alignées appelées à lui. Chacune portait un message dont il ne comprenait toujours pas toute la conséquence. Les icônes travaillés semblaient représenter des plateaux en mouvement, par exemple si l’argile avait capturé des fragments d’un destinée encore imprécis. Les prêtres du temple s’étaient rassemblés autour de lui, choisissant de faire les pots avec une solennité surnaturel. Ils savaient, eux entre autres, que ces prédictions ne devaient pas être ignorées. Il se souvenait d’un familial récit que lui avait conté son grand-papa, un récit abordant des potiers mystiques susceptibles de pouvoir lire l’avenir dans l’argile. On disait qu’ils étaient des anciens temps sollicités par les gentilhommes pour prédire la bonne étoile ou la honte des cités. Mais avec le temps, ce nous guider s’était perdu, ou peut-être avait-il compté banni dans le but qu’un homme ne soit capable de contrôler le futur. Se pourrait-il que ce idolâtrie soit réapparu à travers lui ? Les prêtres s’agenouillèrent en cercle, murmurant des incantations. Ils connaissaient les rudiments de la voyance par mail sérieuse, cette capacité à ravir des info invisibles et à les saisir en conséquence de des moteurs inattendus. Mais jamais ils n’avaient vu une guidance consacrer forme dans un matériau de plus habituel que la univers cuite. Soudain, un prêtre s’approcha et posa sa coeur sur une amphore encore intacte. À versification qu’il caressait le support, les motifs changèrent par-dessous ses doigts. Une indication illustration apparut : une porte colossale, gravée d'arabesques inconnus. Puis, un effondrement. Un temple en ruine. Le potier sentit son intelligence se bloquer. Cela voulait-il expliquer que le temple lui-même allait être détruit ? Était-ce un avertissement ou une truisme ? S’il continuait à rimer ces pots, l'avenir allait-il se sculptées à neuf dans l’argile ? Ou bien était-ce déjà généreusement tard ? La responsabilité de ce apprendre lui pesait. Il pouvait vouloir ne plus crées cette orbe, d’arrêter ces guidances. Mais refuser de regarder le futur était-il la explication ? Derrière lui, les prêtres attendaient une solution. Que devait-il provoquer ?
